Aux personnes qui étaient proches de tante Lucienne
Je me souviens de tante Lucienne comme d'une personne de bonne humeur, qui ne perdait pas de vue ce que la vie a de beau même quand elle peut être difficile. Je ne l'ai pas beaucoup connue, mais je l'ai vue à quelques reprises quand elle habitait à Hull. Je repartais toujours avec le sourire, avec le sentiment qu'il n'y avait jamais rien de compliqué avec elle, qu'elle me prenait comme j'étais.
Je voudrais aussi vous dire que mon père, François Martineau, qui n'est peut-être plus capable de vous le laisser savoir aujourd'hui à cause de sa maladie, m'a toujours parlé de sa grande sœur Lucienne avec les yeux remplis d'affection et d'admiration.
Je vous offre mes condoléances,
Marie-Isabelle Martineau