BIGRAS, Louise
1955 - 2020
LOUISE BIGRAS-RICHARD
7 novembre 1955 – 5 octobre 2020
Femme de tête, mais surtout de cœur, Louise Bigras-Richard nous a quittés le 5 octobre dernier après plusieurs mois de maladie. Celle que son mari appelait « ma belle Loulou d’amour » aura été jusqu’à la fin aimable et patiente même devant la souffrance. Elle s’est éteinte paisiblement pendant que son fidèle compagnon des 26 dernières années lui tenait la main en lui lisant une histoire, comme elle aimait tant qu’il le fasse le soir avant qu’elle s’endorme.
En premier lieu, nos remerciements les plus sincères au personnel médical de l’Hôpital de Hull et de l’Hôpital général de Montréal pour leur compassion infinie et les soins assidus qu’ils ont prodigués à Louise. Nous avons également été profondément touchés par les témoignages d’appui et d’empathie qui nous ont été exprimés par les parents et amis tout au long de cette épreuve.
Comme Louise était une femme d’une grande générosité dans tous les sens du terme, la meilleure façon de lui rendre hommage et de souligner son passage sur terre serait de faire un don à un organisme qui lui a rendu de grands services au cours des années et qui offre une aide essentielle à de nombreuses personnes partout au Québec :
La Maison des greffés Lina Cyr
1989, rue Sherbrooke Est
Montréal QC H2K 1B8
514-527-8661
https://www.maisondesgreffes.com/don/don-a-la-maison-des-greffes-lina-cyr-38/personal
Pendant sa trop courte vie, Louise a su toucher des centaines de personnes. Esthéticienne de métier pendant 47 ans, elle jouait aussi le rôle de psychologue, d’infirmière, de conseillère auprès de ses clientes qui, au fil des ans, étaient devenues des amies très chères.
Elle aimait toutes sortes de choses, mais avant tout les gens, de sorte qu’elle avait tissé des liens d’amitié partout. Outre sa passion pour le jardinage, la couture, la photographie et la cuisine, elle s’intéressait aux arts, particulièrement la danse, à l’histoire, aux sciences pures, à l’architecture, aux biographies et au bien-être animal. D’ailleurs, elle choyait tous ses animaux de compagnie, dont les deux derniers qui lui survivent Mika et Ti-Gars, qui bénéficiaient de sa constante attention et de ses soins les plus délicats.
Vaillante, Louise cherchait toujours à faire de son mieux et à améliorer les choses. Malgré les épreuves qui entachent toute vie, elle savait vivre dans la joie et rendre les gens heureux autour d’elle.
C’est pourquoi nous sommes nombreux à regretter son départ. D’abord, son mari Daniel Morin, qu’elle avait épousé en 1996 après deux années de vie commune. Ensuite, son fils Paul Richard, qui lui avait fait un don de vie le 6 juin 2006, et sa petite-fille Oxxana, dont la naissance en 2010 avait été pour elle un grand bonheur. Diane Bigras, sa sœur et fidèle amie, lui survit également, mais ses parents Réjean Bigras et Thérèse Latulippe étaient déjà décédés.
Outre ses innombrables amies et amis, elle laisse dans le deuil ses sept belles-sœurs, une dizaine de neveux et nièces et d’autres membres des familles Bigras, Richard et Morin, ainsi que leurs conjoint(e)s. Les témoignages de sympathie déjà reçus ou à venir seront considérés comme autant de cadeaux et feront l’objet de remerciements plus personnels dès que le temps le permettra.
Les funérailles seront célébrées dans l’intimité le samedi 7 novembre 2020, à 14 heures, à la chapelle de la Coopérative funéraire de l’Outaouais, 1369, boul. La Verendrye Ouest. Elles seront diffusées en direct sur le Web à l’adresse suivante : https://commemora.tv/fr/diffusions/18674. Il sera aussi possible de regarder la cérémonie en différé au cours des trois mois qui suivront au même lien. Une cérémonie de célébration de la vie de Louise et de disposition de ses cendres aura lieu à une date ultérieure.