Mamie Céline, tu as quitté la France et tout ce que tu aimais pour venir vivre parmi nous au Canada il y a trois ans, juste avant que mon frère, ton fils chéri, succombe de la maladie terrible de Lou Gehrig.
Comme tu le désirais, tu es restée chez nous jusqu’à ton départ de ce monde le 8 décembre, après trois semaines de lutte contre une insuffisance cardiaque congestive, qui t’avait frappée si soudainement.
À 97 ans, ton parcours de vie a été bien rempli. Tu as vécu des moments bien difficiles, mais aussi des moments de bonheur. Tu as su rester une personne au coeur pur, un esprit généreux et sage, toujours aimante et accueillante envers chacun de nous et envers tous ceux et celles qui t’ont connue. Tu t’es envolée vers la lumière et l’amour infini, mais tu nous manques tant, mamie.
Ta fille, tes trois petits-fils et leur conjointes et tes six arrière-petits enfants, se retrouvent bien seuls, tous tes amis ressentent ton absence. S’il te plait, sois notre ange gardien et veilles sur nous tous.
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